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Livre - Page 15

  • La cité de perle

    Ce récit de science-fiction, s'il est un peu confus au début, se révèle prenant et très agréable à lire. on y rencontre des terriens en voyage à 75 années lumières de la terre ; une colonie de terriens exilés sur une île d'une planète appartenant à une espèce aquatique, lesquels sont protégés par des extra-terrestres soucieux d'équilibre écologique. Et puis il y a bien sûr des intrus, qui, à l'étroit sur leur propre planète, tentent de coloniser l'espace disponible.

    De la science fiction écologique, où les intérêts commerciaux des grandes firmes sont combattues par une policière de haut vol, dont la propre mission sera dévoilée au cours du récit.

    Les postures et les personnages sont un peu caricaturaux, mais on se laisse prendre au jeu.

    Un bno moment de détente.

    La cité de perle - Les guerres wess'har 1 - par Karen Traviss, éditions Bragelonne

  • Si on me touche, je n'existe plus

    Ce récit est étonnant, décalé, poignant, dérangeant. L'auteure s'y livre totalement et nous donne quelques clés pour comprendre ce qu'elle et ses semblables vivent chaque jour ; en effet, elle est atteinte d'autisme. Son monde inaccessible s'ouvre un peu à notre compréhension ; on y appréhende l'angoisse qui l'accompagne et l'empêche d'être elle-même.

    Elle entr'ouvre ainsi une porte sur l'enfermement des enfants autistes, que l'on dit incapables d'attachement.

     

    Donna Williams editions J'ai lu ISBN 978-2-290-13445-0

  • La suite de Complexe 13 B : Territoire gris

    Mes relecteurs commencent à me livrer leurs premières impressions. Moment attendu et craint ! Mais il faut accepter les critiques car elles recèlent souvent des idées intéressantes. Je sais qu'il me faudra retravailler sur mon texte. Zut ! L'envoi vers un hypothétique éditeur n'est pas pour demain. Les premières suggestions font leur chemin dans un coin de mon cerveau, avant de prendre véritablement forme. Au moins l'idée générale semble fonctionner ! Ouf !

     

     

     

  • Et la vie continue...

    Je suis privilégiée ! Privilégiée car je viens de lire un roman que personne d'autre n'a encore lu, puisqu'il n'est pas (encore) publié. Les "Mots Migrateurs" recèlent bien des talents, et celui de François Lainée, je viens de le découvrir à travers ce roman intitulé "Et la vie continue". J'ai été soufflée par l'intensité de l'hisoire, la justesse des situations, le sens du récit que l'auteur nous dévoile.

    Le sujet ? Grâce à une technologie nouvelle issue d'internet, un père parvient à communiquer avec ses enfants après sa mort. Il leur révèlera ainsi petit à petit sa vraie nature, les amènera à réfléchir sur leur vies, réussira à influer sur eux, à les réconcilier... Derrière le détail technologique se cache une histoire d'amour authentique qui ne laisse pas indifférent.

    Bravo à François Lainée et longue vie à "Et la vie continue !"

  • Juste avant

    Evocation d'une vie, regards croisés, l'arrière petite fille et la grand-mère, sur son lit de mort, ne se parleront pas, mais une étrange communion les rassemble pour une dernière fois. Chacune d'elle, dans ces moments où le silence est de règle, vont revivre des moments de vie, des moments racontés ou vécus ensemble. Et l'on voit se dérouler l'existence de plusieurs générations de femmes, entre des instants de bonheur et, plus fréquents, des périodes difficiles. Malgré les malheurs, il flotte comme un air de joie, ou du moins de sérénité.

     

    Juste avant, de Fanny Saintenoy, éditions Flammarion

  • Mon livre numérique : suite 2

    J'en étais à la création d'un compte Adobe ID qui m'a permis d'ouvrir le livre téléchargé sur mon mac. Mais ce que je veux, c'est lire cet ouvrage sur mon fnacbook ! M'enfin !

    Je branche mon fnacbook sur mon mac, l'icône apparait sur le bureau. Jusqu'ici tout va bien. Je tente un cliquer-glisser du livre convoité vers l'icone du fnacbook : il refuse obstinément de bouger, comme collé à l'écran. 

    Après plusieurs tentatives plus ou moins orthodoxes, je comprends enfin que la notice peut parfois être utile, en tout cas ce serait une action plus intelligente que de m'acharner sur la pauvre souris innocente.

    Ah, j'avais zappé le menu "gestion des doits numériques", indispensable pour lire les livres numériques téléchargés. Il ne me reste plus qu'à entrer les données de mon flambant neuf compte Adobe ID, et le tour est joué !

    Et bien non, toujours pas ! La bête résiste.

    Je décide de laisser passer la nuit, qui comme chacun sait porte conseil. J'espère que mon fnacbook saura en profiter.

    Avec une certaine anxiété, le lendemain, je retente le transfert. Si je dois encore solliciter l'assistance technique, ils vont me prendre pour une gourde !

    Et là, oh miracle, mon fnacbook apparait comme lecteur dans Adobe Digital Edition et le cliquer-glisser ne requiert qu'un doigt sur une souris docile !

    Je vais enfin pouvoir lire mon livre numérique sur mon e-book apprivoisé. Ouf !