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  • Demain j'arrête !

    Quatre cents page sur une jeune femme qui tombe amoureuse de son nouveau voisin et qui use tous les stratagèmes pour le séduire, sans se rendre compte qu'il l'est déjà ! C'est beaucoup et c'est long si on le lit au premier degré. Mais bien sûr, le bonnet péruvien et le reste, c'est du second degré !

    Je dois reconnaître : un sketch de 400 pages, il fallait le faire.

    Le final est moins flamboyant que l'on ne s'y attendait. Dommage.

    En bref, pour se distraire un moment...

     

    Demain j'arrête de Gilles Legardinier

  • Recherche encore éditeur...flop !

    Territoire gris, gris comme le temps, gris comme la pluie. Inondés de textes, les éditeurs refusent même les manuscrits. Ils ferment leurs portes ; ceux qui acceptent encore de lire annoncent des délais de six mois à un an, ou tranchent dans le vif "votre manuscrit ne correspond pas à ce que nous souhaitons éditer" ; la réponse revient en boomerang, sans qu'ils aient eu le temps de déchiffrer plus que le titre et le résumé (en diagonale). Ce que je propose n'est jamais dans le bon créneau : "on recherche plutôt de la fantasy, du space opera,...". On dirait que les éditeurs de SF s'hyper spécialisent, et les généralistes ne veulent pas se lancer dans le genre. Il reste bien peu d'espace pour un roman d'anticipation un peu classique !

    Décidément, que ce soit que ce soit dans l'agro-alimentaire, la haute technologie ou la littérature, la conjoncture est morose.

    Et pourtant, la rentrée "littéraire" nous a abreuvé de plusieurs centaines de livres ; il y a donc encore des lecteurs ?

    Les miens resteront un minuscule carré d'amis qui m'ont fait l'honneur et le plaisir de bien vouloir se pencher sur mes écrits. Merci !